Elodie Tedeschi
Elodie Tedeschi
Psychopraticienne de neurofeedback Dynamical ®️ et EFT à Champigny-sur-Marne
Praticienne en Psychothérapie et en Thérapie Comportementale et Cognitive

FUIR OU COMBATTRE ?


À l’école ou au travail, dans la vie privée ou dans la vie sociale, les épreuves sont multiples. La façon d’y faire face se résume en deux stratégies fondamentales : combattre ou fuir.

Selon les différentes perceptions avec les lesquelles il est possible de voir le monde, certains d’entre nous perçoivent un obstacle ou une difficulté comme étant une menace ou une entrave.

Pour d’autre, la même difficulté peut être perçue comme une occasion ou un défi.

Alors, qu’elle sorte de lunettes avez-vous ?

 

  • LA FUITE ?…

La fuite est l’un des deux comportements de notre corps en réponse à un facteur Stress, l’autre est son contraire, la lutte.

Lorsqu’il est question de survie, il peut être tout à fait sain et pertinent de fuir, en revanche on ne peut pas en dire autant chez la personne qui fuit un obstacle ou une difficulté liée à un projet professionnel, des démarches ou une situation impliquant un engagement personnel.

Dans un tel cas le comportement de fuite souligne peut-être une crainte de ne pas y arriver, ce qui mettrait la personne concernée en situation d’échec.

La fuite empêche alors la réalisation, l’accomplissement et entrave la confiance en soi.

Oser un jour mettre un frein à ce processus d’auto-sabotage en cessant de donner raison à ses peurs peut être une libération.

 

  • LA NEGATION ?

Celle-ci est souvent utilisée lorsque des changements sont imposés par notre environnement, au travail, par exemple. Des changements d’organisation, un nouveau patron, le reflexe est alors de dire « c’était bien mieux avant » ou à porter des jugements en généralisant « les patrons sont tous les mêmes » …

La vérité, c’est que l’inconnu effraie et cela est plus facile de se plaindre que de faire face et surtout moins exigeant sur le plan psychologique.

  • LA CULPABILISATION DES AUTRES ?

Les personnes agressive, frustrée ou violente utilise la culpabilisation à répétition et projettent sur l’autre la piètre image qu’ils ont d’eux même. De cette façon la vie semble moins pénible et en rendant les autres coupable ces personnes amoindrissent leurs responsabilités face à la situation

  • L’APITOIEMENT, LA CULPABILISATION DE SOI ?

Face aux difficultés, certaines personnes se soumettent aux autres, perdent tous leurs moyens et finalement se disent incapable de prendre des décisions, En remettant en permanence leur pouvoir personnel entre les mains des autres.

Mais voilà lorsque qu’ on laisse aux autres le soin de décider ce qu’il nous revient de vivre et de faire, on en vient graduellement à perdre confiance en soi, à voir son estime de soi s’affaiblir et à avoir de moins en moins de motivation ou de joie de vivre.

 

Ci-dessus nous avons pu voir que fuir, nier, blâmer, s’apitoyer ou se culpabiliser ne change pas grand-chose à la difficulté ou à l’obstacle à vivre.

 

Oui mais alors comment peux-t-on faire, pour se dépasser ?

 

  • L’ACCEPTATION DES OBSTACLES

L’acceptation est une attitude vraiment clé permettant de faire face à ce qui se présente, sans ajouter de la charge émotive supplémentaire qui alors alourdirait la situation.

“La vraie liberté consiste à réaliser et accepter le fait

qu'il n'existe pas de réponse parfaite. ”

                                                                                                    Allen Reid McGinnis

Vous aurez donc compris, que l’on doit accepter ce que l’on ne peut changer...

Une personne qui accepte ou affronte les obstacles reconnait son pouvoir personnel, ses limites et les conséquences de ses gestes. Elle se révélera ainsi maître de ses choix et de sa destinée.

Cela s’appelle aussi la liberté !!!


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